12.12.10



Le retour à l'ignorance; le mal être inéluctable et insoluble. Comment pourrais t'il l'être sous ton regard, escorté par des excuses maladroites digne de l'innocence enfantine que tu détient encore ? Tu m'avais parut beau même quand tu n'arrivais pas à me consoler, que mes tords me déchiraient lorsque tu me disais des mots involontairement blessant qui n'exprimer pas les fonds de tes pensées. & je rétorquais des mensonges pour cacher ma faiblesse et mon infériorité alors que tu ne cherchais pas à ce que je le sois. Je m'inflige peut être du mal toute seule, mais tu n'as rien su arrangé, aujourd'hui est encore ce qui était hier quand je te le reprochais, que je taisais à tes côtés. Remercie ton sourire d'avoir fais dessiner le mien sur mon visage, tes lèvres de les réconcilier avec les miennes pour faire sécher mes larmes. L'amour que tu me portes est muet, le silence qui règne m'arrache le coeur sans que tu en es conscience, sans que je t'en veuille. J'aurais voulu que tu réagisses avant que je parte la tête froide, que mes avertissements aient raison de nous et que je gâche ma vie comme tu l'as si bien dis. 18h42, ma boîte de réception est vide de toi, j'aurais voulu savoir ce que tu ressens pour moi, ce bien que te procure notre premier mois passé ensemble et décrire les sensations de bonheur de nos étreintes de ce week end. Mais c'est toujours la même, toujours la même.

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