16.12.10

La loi du plus fort.



 Peu importe de l'heure qu'il est, peu importe du temps dehors qui doit être comme hier, un jour de décembre froid et blanc. Rien ne m'importe sans que je sache ce qui t'interpelle toi. J'aurais voulu que ça soit nous, j'eut espérer qu'à l'instant où j'écris tu t'angoisses de l'amertume de notre avenir. J'aimerais te voir aussi torturé que moi, aussi apeuré, et te faire comprendre du mal que tu as su propagé. L'amour n'as rien apporter d'agréable, tu ouvres des plaies que j'ai réussi à cicatriser avec le temps, avec entrave et paquet de cigarettes. Alors j'aurais voulu que mes états d'âmes soient partagés, que cette réciprocité fassent de nous des destructeurs respectifs. Peut être ai-je réussi, tu n'en dirais certainement pas le contraire. Ce que j'avais cru accompli, c'était ton attachement envers moi, je n'ai fais qu'écraser les efforts que tu entreprenais, les liens se détachent sous un attristant déchirement, sec et rompu d'une détonation empli de morosité. Nous sommes des êtres maladroits et incompatibles. C'est ça ce que la vie veux me faire dire ? Nous n'aurions pas dû avoir le besoin d'être celui qui auras le moins de mal à tenir l'un sans l'autre. Avant vouloir ta peine, j'aurais voulu ton réconfort, ton courage face à des paroles qui aurais du me paraître évidentes à croire. Nous avons échouez, tu ne sais pas plus que moi si il y a possibilité de relancer les dès, si ça en vaut la peine, la peine de souffrir, à jouer à qui tireras le premier.
Le dernier silence.

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